Libreville – Lors de la 67ème session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies, le ministre de la Justice gabonais, Erlyne Antonela Ndembet Damas, a fait un plaidoyer pour une plus grande prise en compte des femmes dans les politiques nationales et internationales, entre autres.

Au cours de cette 67ème session, le ministre gabonais de la Justice a prononcé respectivement deux déclarations au nom du gouvernement de la République gabonaise. Notamment devant le Conseil de sécurité des Nations unies et la Commission de la condition de la femme.

Face au Conseil de sécurité réuni autour du thème: ‘’Femme, Paix et sécurité’’, Erlyne Antonela Ndembet Damas a fait un plaidoyer pour une plus grande prise en compte des femmes dans les politiques nationales et internationales de prévention des conflits armés et de prévention des violences à travers le monde.

Cette session, a permis au ministre en charge de la Justice, d’édifier l’ensemble des Etats membres et les autres participants sur la politique menée par le Gabon. Ce, en vue de renforcer la place des femmes dans les sphères décisionnelles.

Devant la Commission de la condition de la femme, axé sur le thème : ‘’l’innovation et l’évolution technologiques et l’éducation à l’ère du numérique aux fins de réalisation de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes’’, Mme le ministre a présenté l’ensemble des mesures et mécanismes mis en place au Gabon pour l’accompagnement, l’autonomisation des femmes sur le territoire national.

Aussi, a-t-elle insisté sur les programmes initiés par le gouvernement. Lesquels visent à mener des activités économiques en s’appuyant sur les facilités des NTIC.

Un ensemble de programmes élaborés en faveur des femmes et qui a valu au Gabon, la place de premier pays africain en matière d’égalité des genres.